pourquoi ? c’est ma maison !
Le corps est le messager quand la tête est ailleurs.
Si je n’habite pas mon corps, je suis 2.
Oublier son corps c’est se renier.
Par la douleur, la tension, le corps me donne des pistes.
Parfois, il y a des endroits loin.
Est ce que j’écoute ? Est ce que je respecte mes besoins ?
Si je ne l’aime pas, je ne l’habite pas.
Comment aimer son corps ?
Découvrir ses ressources : là je peux étirer, là je peux m’incliner, là je peux m’ouvrir, courir, danser…
Honorer son intelligence : La Vie dans la cellule , la relation entre les cellules à travers les hormones, la circulation, la distribution, la réparation, l’excrétion..
Voir ses limites, ses fragilités : me poser dedans, qu’est ce que çà dit ?
Si un organe ne fonctionne « pas bien » : c’est un jugement …. il s’exprime à sa façon, justement pour m’ouvrir à un chemin d’exploration.
Partir de sa réponse, oublier ce que je sais, comme un alphabet, une grammaire à découvrir. Mon histoire, mes émotions sont là tapies dans les recoins…
Habiter son corps
Le corps une interface entre l’extérieur et l’intérieur ; quand le vent souffle, le corps dit oui ou non ?
Le corps, ma terre : m’asseoir dedans.
Sur terre, je suis dans un corps ; issu de la rencontre de 2 cellules.
Création d’un corps dans l’utérus d’une femme ; ce corps imprégné du corps de cette femme, ses émotions, son histoire ; du corps de son père, des lignées…
où suis je vraiment ? Dans leur histoire ou dans la mienne ?
Le libérer de ces histoires pour vivre sa propre histoire.et en même temps ces histoires sont là pour m’aider à m’approcher de la mienne.
En prenant soin de mon corps, par l’accueil de ce qu’il vit, par s’ouvrir à ce qu’il me dit, j’apprends à me ré-accorder, et je vais à la rencontre de mon Etre.